Posture anormale, crampes répétitives et bien d’autres, sont les conséquences de la dystonie. Cette maladie est caractérisée par la contraction involontaire des muscles. Pour des gens qui en souffrent, cet article présente deux méthodes pratiques.
Le traitement tourné vers des thérapies
La dystonie fait partie de ces pathologies chroniques qui rongent les personnes touchées. L’une des solutions de soins curatifs concerne le recours à des thérapies qui s’appuient généralement sur des manœuvres sensorielles. Il s’agit en effet de développer des gestes antagonistes de manière spontanée pour interrompre la contraction involontaire des muscles. Par ailleurs, la dystonie peut être soignée en pratiquant de la Kinésithérapie. Étant une thérapie des problèmes musculaires, la Kinésithérapie participe à la rééducation motrice et fonctionnelle chez la personne atteinte de dystonie. La gymnastique médicale et le massage sont deux pratiques thérapeutiques par lesquelles le kinésithérapeute renforce les capacités fonctionnelles du patient. Il existe tout de même plusieurs autres sciences cliniques de même nature qui permettent de traiter la dystonie.
Les soins au moyen des médicaments
Comme certains troubles fonctionnels, il est possible de soigner la dystonie avec des médicaments. Il faut signaler qu’il n’y a pas de remède spécifique pour la dystonie. La plupart des médicaments employés dans le traitement de ce mal ne sont que des relaxants musculaires. Ils ne parviennent pas à restaurer entièrement toutes les capacités fonctionnelles. Les muscles peuvent être relaxés pour favoriser le soulagement des crampes chez le patient. Ainsi, au moyen d’injections médicales, il est possible d’atténuer les symptômes de la dystonie, même si on ne la guérit pas totalement. Un anti-tremblement ou sédatif contribue à faire face à la contraction involontaire et chronique des muscles. Le malade doit se rendre à l’hôpital dès l’apparition des premiers signes pour suivre un traitement adéquat. À vous de jouer !